BMW M5 2020
Les longues histoires sont, en gros, mouvementées. L'histoire de la BMW M5, sans doute l'exemple fondateur de l'Allemagne de la super berline moderne, a certainement été à la fois de ces deux choses, remontant à cinq générations de modèles et près de 35 ans.
Il a englobé des moteurs à six et 10 cylindres dérivés de la course et inspirés de la course, des transmissions séquentielles révolutionnaires et de nombreux sujets de discussion. Mais cela ne nous a jamais apporté plus de controverse ou d'écart plus audacieux avec la convention établie que ce n'est le cas actuellement, sous la forme du sujet des essais routiers de cette semaine: la sixième génération de BMW M5 (F90).
En partie en réponse à une décision identique de son concurrent Mercedes-AMG, mais principalement en reconnaissance de la demande des consommateurs pour une plus grande facilité d'utilisation par tous les temps en Amérique du Nord, la division M a changé son véhicule de direction à quatre portes Firebrand d'un essieu moteur à deux. Ce faisant, il a adopté une technologie qui, il y a peu de temps, n’aurait pas sa place dans une berline dont l’identification numérique était précédée du «M».
En effet, malgré la fin de la production il y a seulement huit ans, le V10 à aspiration naturelle du M5 de génération E60 à propulsion arrière semble maintenant un souvenir doux mais distant, notamment parce que son successeur contemporain utilise un plus petit moteur V8 à induction forcée et, pour le première fois dans une M5, une transmission qui envoie le couple aux quatre roues via une transmission automatique à convertisseur de couple standard.
Cependant, comme vous le lirez bientôt, c'est un mariage qui a entraîné un changement de rythme par tous les temps pour cette voiture qui peut, sans hyperbole, être décrite comme ridicule pour un objet pesant près de deux tonnes. Pour les nombreux propriétaires qui n'exploreront jamais les capacités de leur voiture au-delà de ce qu'elle peut faire sur un tronçon de route rectiligne, ce simple rythme peut être tout ce qui est nécessaire pour garder la voiture compétitive et la garder sur son allée.
Ceux qui ont des souvenirs plus longs, ceux qui savent comment BMW M a établi la norme de super-berline pour gérer la pureté et le dynamisme pendant une décennie ininterrompue, en attendront plus, comme nous. Alors, cette génération de série 5 plus rapide peut-elle réaffirmer la domination de la niche des super-berlines que son prédécesseur sans intérêt a abandonnée?
Les longues histoires sont, en gros, mouvementées. L'histoire de la BMW M5, sans doute l'exemple fondateur de l'Allemagne de la super berline moderne, a certainement été à la fois de ces deux choses, remontant à cinq générations de modèles et près de 35 ans.
Il a englobé des moteurs à six et 10 cylindres dérivés de la course et inspirés de la course, des transmissions séquentielles révolutionnaires et de nombreux sujets de discussion. Mais cela ne nous a jamais apporté plus de controverse ou d'écart plus audacieux avec la convention établie que ce n'est le cas actuellement, sous la forme du sujet des essais routiers de cette semaine: la sixième génération de BMW M5 (F90).
En partie en réponse à une décision identique de son concurrent Mercedes-AMG, mais principalement en reconnaissance de la demande des consommateurs pour une plus grande facilité d'utilisation par tous les temps en Amérique du Nord, la division M a changé son véhicule de direction à quatre portes Firebrand d'un essieu moteur à deux. Ce faisant, il a adopté une technologie qui, il y a peu de temps, n’aurait pas sa place dans une berline dont l’identification numérique était précédée du «M».
En effet, malgré la fin de la production il y a seulement huit ans, le V10 à aspiration naturelle du M5 de génération E60 à propulsion arrière semble maintenant un souvenir doux mais distant, notamment parce que son successeur contemporain utilise un plus petit moteur V8 à induction forcée et, pour le première fois dans une M5, une transmission qui envoie le couple aux quatre roues via une transmission automatique à convertisseur de couple standard.
Cependant, comme vous le lirez bientôt, c'est un mariage qui a entraîné un changement de rythme par tous les temps pour cette voiture qui peut, sans hyperbole, être décrite comme ridicule pour un objet pesant près de deux tonnes. Pour les nombreux propriétaires qui n'exploreront jamais les capacités de leur voiture au-delà de ce qu'elle peut faire sur un tronçon de route rectiligne, ce simple rythme peut être tout ce qui est nécessaire pour garder la voiture compétitive et la garder sur son allée.
Ceux qui ont des souvenirs plus longs, ceux qui savent comment BMW M a établi la norme de super-berline pour gérer la pureté et le dynamisme pendant une décennie ininterrompue, en attendront plus, comme nous. Alors, cette génération de série 5 plus rapide peut-elle réaffirmer la domination de la niche des super-berlines que son prédécesseur sans intérêt a abandonnée?
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